1ère : Egnoname Eugenie GADEDJISSO TOSSOU
Journaliste-Reporter, Egnoname Eugenie GADEDJISSO TOSSOU, est engagée pour l’atteinte de l’ODD 5, l’égalité entre les sexes. Agée de 28 ans, elle a fondé en 2021, avec une équipe de jeunes, une société de média digital « AfrikElles », un canal d’information, d’éducation et de promotion de la femme en générale et celle africaine en particulier. De fait, « Afrikelles » est à vocation panafricaine avec pour objectif principal de permettre l’accès facile à l’information aux femmes et jeunes filles africaines sur les questions de droits à la santé sexuelle et reproductive. A travers ce média, la parole est donnée régulièrement aux femmes et aux filles pour s’exprimer sur leurs besoins et difficultés quotidiens. Ce média est aussi le canal de diffusion des actions, initiatives et opportunités à l’endroit des femmes et jeunes filles africaines.
Ambitieuse et passionnée du travail bien fait, Eugenie GADEDJISSO TOSSOU, diplômée d’une licence professionnelle en journalisme, comptabilise près de dix (10) années d’expériences professionnelles en tant que journaliste-reporter. Elle a, à son actif quatre (4) distinctions dont le « Prix spécial encouragement au journalisme féminin » décerné en juillet 2022 par l’Etat togolais, la délégation de l'Union européenne au Togo, le PNUD, les ambassades de France, d’Allemagne, des USA au Togo (Lauriers des Journalistes d’Impact, LJI). En 2023, elle a été distinguée femme leader au Africa Girls Women Summit à Lomé pour son engagement en faveur de la femme.
Elle a participé à des rencontres et suivi plusieurs formations nationales et internationales notamment, le Global Média Forum à Bonn en Allemagne et la formation sur les productions en lien avec les ODD à l’École Supérieure de Journalisme de Lille (ESJL). Elle est aussi formée en technique de reportage grâce à la Bourse Ghislain Dupont et Claude Verlon de Radio France Internationale (RFI).
Eugenie GADEDJISSO TOSSOU ambitionne avec son média “Afrikelles”, atteindre les femmes des milieux ruraux à travers des productions en langues locales et l’organisation des séances de sensibilisation notamment sur leurs droits.
2ème : Samira ZAKARI
Samira ZAKARI est une journaliste-reporter, très passionnée du journalisme d'investigation. Âgée de 25 ans, elle fait ses premiers pas dans le domaine des médias grâce à une opportunité de stage au quotidien Daabaaru en 2018 alors qu'elle n'avait que le Bac. Après un an de formation accrue sur le tas, elle est maintenue par la direction du groupe de presse Daabaaru au regard de ses qualités rédactionnelles et son dynamisme.
Au sein de sa rédaction, Samira s'intéresse aux desks société et santé qui lui permettent d'utiliser sa plume pour dénoncer les différentes formes de violences dont sont victimes les femmes et les enfants. En cinq (5 ) ans d'exercice du métier de journaliste, elle a participé à plusieurs formations organisées par des organisations nationaux comme internationaux dont Engender-Healh, l'Union Européenne, DG Partners, Care Bénin-Togo au profit des journalistes.
Très ambitieuse, Samira entend apporter sa voix pour l'éradication des violences basées sur le genre à travers des productions pointues sur la question. Par ailleurs, elle nourrit l'espoir de se positionner parmi les meilleures journalistes femmes engagées pour l'atteinte des ODD 5. Samira est actuellement en instance de soutenance de sa licence professionnelle en sociologie.
3ème : Eunice ALLADE
Journaliste reporteur d’image et animatrice, Eunice ALLADE est une jeune journaliste dotée d’une licence d’Etat en 2022 après trois ans de formation à l’Institut Supérieur de Communication et de Gestion « ISCG ». Agée de 23 ans elle a accumulé plusieurs expériences professionnelles en faisant des stages à Radio Kpassé de Ouidah et Royal FM d’Abomey ou elle est actuellement en tant que journaliste.